Depuis 2014, le 1er mars est reconnu par l’Assemblée générale des Nations unies (ONU) comme la Journée zéro discrimination qui est maintenant représentée par une sous-division : l’ONUSIDA. Depuis 1996, l’ONUSIDA a pour objectif de militer contre l’épidémie de sida. Étant donné l’action prise face aux problématiques de santé, l’ONUSIDA a comme but de promouvoir la dénonciation des problèmes liés aux discriminations. C’est cette année à pour thème : ZÉRO DISCRIMINATION À L’ÉGARD DES FEMMES ET DES FILLES.

Les inégalités s’aggravent pour plus de 70 % de la population mondiale, ce qui augmente le risque de division et ralentit le développement économique et social. Par ailleurs, les personnes les plus vulnérables sont celles qui portent le fardeau de la COVID-19. Et même si de nouveaux vaccins contre le coronavirus font leur apparition, leur accès est loin d’être équitable. Beaucoup comparent cette situation à un apartheid vaccinal[1].

Les inégalités envers les femmes et les filles sont encore et toujours présentes à travers le monde. Il faut s’attaquer principalement à la discrimination afin de contrer ces inégalités qui peuvent affecter la santé, la sécurité et la justice de certains êtres humains. Il convient aussi de les dénoncer au travers d’histoires pour que la société change. ONUSIDA affirme que :

Ce n’est pas la première fois que nous nous engageons contre les inégalités : en 2015, tous les pays ont promis de les réduire au niveau national et international dans le cadre des Objectifs de développement durable. Mais la situation a peu changé aujourd’hui.[2]

Bref, il faut continuer de promouvoir les droits humains afin de trouver une stabilité économique pour que les femmes et les filles à travers le monde aient accès aux ressources nécessaires, surtout en temps de pandémie.

 

 


[1] https://www.unaids.org/en/sorrypagenotfound

[2] https://www.unaids.org/en/sorrypagenotfound