Le mois de juin étant celui de la fierté, l’UCET en profite pour braquer les projecteurs sur les 2SLGBTQIA+, mettant en exergue et accentuer les vies et les contributions des 2SLGBTQIA+ en commémorant l’histoire de la Fierté, en célébrant les fabuleux progrès réalisés à ce jour et en attirant l’attention sur les immenses défis auxquels les 2SLGBTQIA+ sont encore confrontés un peu partout. Les origines de la Fierté remontent à juin 1969, lorsque les émeutes de Stonewall ont éclaté dans le Greenwich Village de New York. Un an plus tard, la première marche de la fierté était organisée dans la ville de New York.

Aujourd’hui, des manifestations de fierté ont lieu toute l’année dans le monde entier, certaines de très grande taille, d’autres se limitant à de petits rassemblements clandestins. Certaines se déroulent avec le soutien des autorités locales alors que d’autres font l’objet de violentes réactions. Elles ont toutefois toutes un élément commun, un véritable objectif : lutter pour l’égalité des personnes 2SLGBTQIA+ partout dans le monde. L’UCET est fière de se joindre à ses membres à travers le pays pour célébrer la Fierté cet été. La Fierté n’est pas seulement une façon vibrante et vocale de reconnaître les réalisations des personnes 2SLGBTQIA+, mais aussi un cri de ralliement pour mettre fin à la discrimination, l’homophobie, la transphobie et la biphobie.

L’utilisation d’un langage inclusif aide les gens à se sentir valorisés et accueillis au sein de notre Syndicat, du mouvement syndical dans son ensemble et de nos communautés. En ayant recours à un langage inclusif, nous montrons non seulement que nous valorisons l’inclusion, mais aussi que nous favorisons l’égalité des sexes pour tout un chacun.

L’AFPC a lancé la Trousse sur le langage non-sexiste le 17 mars, Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, et au début de la saison des manifestations de la fierté, au cours de laquelle nous célébrons l’activisme, la défense des droits et la résilience des communautés LGBTQ2+.

Cette boîte à outils est conçue pour aider les membres, les dirigeant(e)s élu(e)s et le personnel à interagir d’une manière qui respecte et célèbre nos identités de genre uniques et diverses.

Téléchargez la boîte à outils complète sur le langage non-sexiste

Selon les résultats du Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux de 2020, 21 % des répondant(e)s de sexe différent ont indiqué avoir été victimes de harcèlement au travail, contre 10 % des hommes et 11 % des femmes.  Ces chiffres démontrent bien que le lieu de travail n’est toujours pas un endroit sûr pour les fonctionnaires trans, bispirituels et non binaires. Vous pouvez également télécharger et imprimer une courte page à apposer sur le tableau d’affichage syndical de votre lieu de travail ou à distribuer lors d’événements afin de donner aux lecteurs et lectrices une vue d’ensemble du sujet, et de les encourager à en savoir plus en consultant la boîte à outils complète.

Toute personne doit pouvoir se sentir en sécurité et soutenue, quelle que soit son identité de genre. Cette boîte à outils décrit les mesures, petites mais tangibles, que nous pouvons tous et toutes prendre pour être plus inclusifs, car le respect des pronoms et de l’identité de genre concerne tout le monde. La trousse d’outils découle de la résolution ‘Termes inclusifs selon le genre’ adoptée au Congrès national triennal de l’AFPC de 2018.  La résolution GEN 18/100 demandait à l’AFPC de ‘trouver et mettre en œuvre des termes alternatifs et plus inclusifs’ et de ‘sensibiliser les membres à l’importance de l’inclusivité dans les salutations.’ L’UCET est fière de participer à cette initiative et de soutenir la communauté de la fierté.

« Il ne faut faire aucune concession pour donner aux gens leurs droits. Il n’est pas bas besoin de dépenser de l’argent pour respecter l’individu. Il n’est pas besoin non plus de conclure un accord politique quelconque pour donner aux gens leur liberté. Et il n’est pas besoin de faire un sondage pour supprimer les mesures de répression. »  Harvey Milk